Experts en : Défavorisation socioéconomique et accès aux services sociaux
BELLOT, Céline
Professeure titulaire
- Itinérance
- Usage de substances psychoactives
- Jeunes
- Autochtones
- Politiques pénales et sociales
- Marginalisation
- Populations marginalisées
- Femmes autochtones
- Action sociale
- Décrochage social
- Défavorisation socioéconomique et accès aux services sociaux
- Intégration socioprofessionnelle
Céline Bellot développe des recherches entourant la judiciarisation des populations itinérantes et des populations en situation de pauvreté au Canada (personnes en situation d’itinérance, consommatrices de drogues, populations autochtones et jeunes en situation de marginalité). Elle réalise aussi des évaluations d’interventions novatrices auprès de populations marginalisées, soit en regard de leur participation sociale ou de leur insertion sociale et professionnelle.
ESPOSITO, Tonino
Professeur agrégé
- Défavorisation socioéconomique et accès aux services sociaux
- Épidémiologie de la maltraitance
- Épidémiologie sociale de la victimisation des enfants
- Bien-être des enfants placés en milieu substitut
- Mobilisation des connaissances
- Protection de la jeunesse
- Santé mondiale
- Enfants
- Violence interpersonelle
Au Québec, les taux de signalements pour mauvais traitements, de recours à des mesures de placement et de judiciarisation sont les plus bas du Canada. Mais on connaît peu de chose sur la qualité des services offerts en matière de protection de la jeunesse et leur efficacité à long terme sur le bien-être des enfants et de leur famille. Les informations longitudinales qui nous permettraient de comprendre les trajectoires de services et leurs retombées pour les enfants et les familles ne sont en effet pas disponibles. Mes projets de recherche visent donc à documenter l'effet du placement en milieu substitut sur le bien-être des enfants et l'influence des facteurs relatifs à la vulnérabilité socioéconomique sur les résultats des services de protection de la jeunesse.
MACDONALD, Sue-Ann
Professeure agrégée
- Intervention psychosociale
- Intervention sociojudiciaire
- Itinérance
- Jeunes
- Jeunes en difficulté
- Judiciarisation
- Marginalisation
- Mobilisation des connaissances
- Oppression et pratiques anti-oppressives
- Participation sociale
- Politiques pénales et sociales
- Recherche participative
- Recherche collaborative
- Recherche qualitative
- Réduction des méfaits
- Ressources de soutien communautaires et institutionnelles
- Risque
- Santé mentale
- Travail social international
- Vulnérabilité psychosociale
- Logement
- Hébergement
- Femmes
- Violence interpersonelle
- Interventions
- Inégalités sociales de santé
- Formation pratique au 2e cycle
- Ethnographie institutionnelle et critique
- Développement des individus
- Victimisation
- Droits et justice
- Défavorisation socioéconomique et accès aux services sociaux
- Décrochage social
Sue-Ann MacDonald est professeure à l’École de travail social de l’Université de Montréal depuis 2011. Elle a travaillé pendant plus d'une décennie comme travailleuse sociale dans une équipe en santé mentale auprès de personnes en situation d’itinérance à Ottawa et à Toronto. Ses intérêts de recherche portent sur les expériences de populations marginalisées (personnes itinérantes – surtout les jeunes et les femmes, ainsi que des personnes aux prises avec des troubles de santé mentale et de toxicomanie). Ses recherches sont ancrées dans la prise en compte du point de vue des personnes marginalisées afin de mieux comprendre leur réalité et améliorer les pratiques à leur endroit. Elle a plusieurs recherches en cours portant sur différents aspects de leur réalité au croisement des thèmes de l’itinérance, la santé mentale et la judiciarisation, incluant : les tribunaux spécialisés, l’itinérance au féminin et/ou cachée, les expériences des femmes en psychiatrie et enfin, le pouvoir d’agir des différents acteurs (professionnels et usagers) du réseau de la santé et des services sociaux. D’autres thèmes attirent aussi son attention notamment les logiques et les pratiques orientées sur la notion de « risque » ainsi que leurs impacts à la fois sur les populations marginalisées et sur les orientations du travail social (pratiques et conditions de travail).