Experts en : Autochtones
BELLOT, Céline
Professeure titulaire
- Itinérance
- Usage de substances psychoactives
- Jeunes
- Autochtones
- Politiques pénales et sociales
- Marginalisation
- Populations marginalisées
- Femmes autochtones
- Action sociale
- Décrochage social
- Défavorisation socioéconomique et accès aux services sociaux
- Intégration socioprofessionnelle
Céline Bellot développe des recherches entourant la judiciarisation des populations itinérantes et des populations en situation de pauvreté au Canada (personnes en situation d’itinérance, consommatrices de drogues, populations autochtones et jeunes en situation de marginalité). Elle réalise aussi des évaluations d’interventions novatrices auprès de populations marginalisées, soit en regard de leur participation sociale ou de leur insertion sociale et professionnelle.
MONTMINY, Lyse
Professeure honoraire
- Violence conjugale
- Femmes aînées
- Femmes autochtones
- Intervention psychosociale
- Intervention sociojudiciaire
- Personnes âgées
- Défavorisation socioéconomique et accès aux services sociaux
- Pratiques et services dans la communauté
- Autochtones
- Réduction des méfaits
- Judiciarisation
- Canada (Québec)
- Intervention communautaire/collective
- Interventions
- Modes d'intervention
Mes intérêts de recherche concernent la problématique de la violence conjugale. Plus spécifiquement, je m’intéresse à
- La violence conjugale entre les conjoints âgés sous l’angle du point de vue des aînées victimes de la violence du conjoint eu égard aux services reçus et aux services à privilégier pour leur venir en aide mais aussi du côté des intervenants sociaux pour mieux comprendre la nature des interventions réalisées auprès des aînées;
- La violence conjugale vécue par les femmes autochtones afin de comprendre les contextes dans lesquels s’exercent la violence et de proposer, par une réflexion collective, des pistes ou des éléments de réponse pour aider ces femmes;
- La pertinence de l’approche de réduction des méfaits pour intervenir auprès des femmes victimes de violence conjugale qui ne souhaitent pas ou quittent difficilement le conjoint qui a des comportements violents;
- L’intervention socio judiciaire dans les situations de violence conjugale afin de connaître les pratiques de nature sociojudiciaire au Québec ainsi que le point de vue des intervenants sociaux et pénaux sur ce qu’est l’intervention sociojudiciaire.
MOTTA OCHOA, Rossio
Professeure adjointe
- Autochtones
- Approches critiques en santé mentale et en psychiatrie
- Colonialisme
- Ethnographie institutionnelle et critique
- Femmes autochtones
- Personnes âgées
- Intersectionnalité
- Itinérance
- Oppression et pratiques anti-oppressives
- Socioanthropologie de la santé
- Inégalités sociales de santé
- Pérou
- Canada
- Théories féministes et queer décoloniales
Mon expérience de recherche et d'enseignement s'est concentrée sur la façon dont les technologies médicales et des interventions sont conçues et utilisées par des experts et des non-experts pour fournir des soins à des groupes de personnes en situation de vulnérabilité, en particulier les populations autochtones du Pérou et du Canada. Les technologies que j'étudie vont des technologies psychiatriques (par exemple, la médication psychiatrique, la thérapie par électrochocs, et l’art-thérapie), à l'intelligence artificielle, en passant des interventions de santé publique. Dans mes recherches, je travaille en collaboration avec des médecins, des scientifiques, des ingénieurs, des intervenants, des organisations communautaires de patients et des utilisateurs de ces technologies pour comprendre l'intersection entre production de connaissances, pratiques de soins, réformes néolibérales et politiques publiques.
Mes axes de recherche actuels et que je développerai dans le futur sont :
1) les interventions adaptées des services en toxicomanie,
2) l’art pour la guérison, et
3) les technologies médicales pour améliorer la santé
Je suis anthropologue culturelle de formation (PhD, University of California, Davis) avec spécialisation en anthropologie médicale, en études des sciences et technologies (Science and Technology Studies – STS), en théories féministes et en théories décoloniales. J’ai aussi réalisé un premier postdoctorat au Service sur les dépendances de la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université de Sherbrooke et un deuxième postdoctorat au Biosignal Interaction and Personhood Technology Lab de l’École de physiothérapie et d'ergothérapie de l'Université McGill. La principale méthodologie de recherche que j’utilise est l’ethnographie que je combine avec la recherche participative et des méthodes qualitatives et quantitatives.