Experts en : Réduction des méfaits
MONTMINY, Lyse
Professeure honoraire
- Violence conjugale
- Femmes aînées
- Femmes autochtones
- Intervention psychosociale
- Intervention sociojudiciaire
- Personnes âgées
- Défavorisation socioéconomique et accès aux services sociaux
- Pratiques et services dans la communauté
- Autochtones
- Réduction des méfaits
- Judiciarisation
- Canada (Québec)
- Intervention communautaire/collective
- Interventions
- Modes d'intervention
Mes intérêts de recherche concernent la problématique de la violence conjugale. Plus spécifiquement, je m’intéresse à
- La violence conjugale entre les conjoints âgés sous l’angle du point de vue des aînées victimes de la violence du conjoint eu égard aux services reçus et aux services à privilégier pour leur venir en aide mais aussi du côté des intervenants sociaux pour mieux comprendre la nature des interventions réalisées auprès des aînées;
- La violence conjugale vécue par les femmes autochtones afin de comprendre les contextes dans lesquels s’exercent la violence et de proposer, par une réflexion collective, des pistes ou des éléments de réponse pour aider ces femmes;
- La pertinence de l’approche de réduction des méfaits pour intervenir auprès des femmes victimes de violence conjugale qui ne souhaitent pas ou quittent difficilement le conjoint qui a des comportements violents;
- L’intervention socio judiciaire dans les situations de violence conjugale afin de connaître les pratiques de nature sociojudiciaire au Québec ainsi que le point de vue des intervenants sociaux et pénaux sur ce qu’est l’intervention sociojudiciaire.
RAFFESTIN, Isabelle
Professeure adjointe
- Intervention sociojudiciaire
- Intervention psychosociale
- Adultes
- Judiciarisation
- Politiques pénales et sociales
- Populations en situation d'itinérance
- Populations utilisatrices de drogue
- Éthique
- Réduction des méfaits
- Recherche qualitative
En continuité avec mes expériences professionnelles d’intervention et de recherche, ma programmation de recherche, résolument ancrée dans un point de vue situé, vise à apporter l’éclairage des personnes concernées (personnes judiciarisées comme personnes intervenantes) et une posture critique quant aux formes de justice et d’intervention proposées.
Ma programmation est constituée de trois axes. Le premier, s’intéresse aux réalités et aux expériences de la judiciarisation des personnes marginalisées. Il s’agit de mettre de l’avant le point de vue des personnes concernées pour dresser les contours et les expériences de la judiciarisation sous ses différentes formes. Le second axe porte sur les pratiques d’intervention dans la sphère socio-judiciaire. Il vise à documenter le point de vue des intervenants sociaux, des policiers, des acteurs judiciaires et correctionnels ; à observer des pratiques d’intervention et à analyser les différents arrangements organisationnels des dispositifs en place. Le dernier axe s'intéresse à la formation à l’intervention socio-judiciaire sur les plan éthique, clinique et professionnel.