Experts en : Populations marginalisées
BELLOT, Céline
Professeure titulaire
- Itinérance
- Usage de substances psychoactives
- Jeunes
- Autochtones
- Politiques pénales et sociales
- Marginalisation
- Populations marginalisées
- Femmes autochtones
- Action sociale
- Décrochage social
- Défavorisation socioéconomique et accès aux services sociaux
- Intégration socioprofessionnelle
Céline Bellot développe des recherches entourant la judiciarisation des populations itinérantes et des populations en situation de pauvreté au Canada (personnes en situation d’itinérance, consommatrices de drogues, populations autochtones et jeunes en situation de marginalité). Elle réalise aussi des évaluations d’interventions novatrices auprès de populations marginalisées, soit en regard de leur participation sociale ou de leur insertion sociale et professionnelle.
GREISSLER, Elisabeth
Professeure agrégée
- Jeunes en difficulté
- Itinérance
- Populations marginalisées
- Engagement
- Participation sociale
- Mouvements sociaux
- Pratiques d'actions collectives
- Intervention communautaire/collective
- Recherche qualitative
- Recherche collaborative
- Recherche-action
Mes travaux de recherche portent essentiellement sur l’itinérance, les actions collectives et les conditions d’accès au logement. Ils concernent plus particulièrement les jeunes et les populations marginalisées (jeunes, femmes, personnes âgées, personnes en situation d'itinérance, entre autres). Les méthodologies de recherche qualitatives et participatives sont celles avec lesquelles je suis le plus familiarisée.
KHOURY, Emmanuelle
Professeure agrégée
- Recherche qualitative
- Santé mentale
- Intervention psychosociale
- Jeunes
- Oppression et pratiques anti-oppressives
- Théories et pratiques antioppressives
- Approches critiques en santé mentale et en psychiatrie
- Processus d'exclusion et de stigmatisation
- Ethnographie institutionnelle et critique
- Recherche collaborative
- Mobilisation des connaissances
- Formes d'exclusion
- Populations marginalisées
- Éthique
Mon expérience et expertise est surtout dans le domaine de la santé mentale, plus récemment avec une attention portée aux pratiques en santé mentale jeunesse et aux pratiques contemplatives anti-oppressive dans la formation des futurs intervenants. Cela dit, ces champs sont très vaste et inclus des connaissances et intérêts autour de : l’intervention en santé mentale en milieu institutionnel et communautaire; des processus de marginalisation, stigmatisation et discrimination; et des enjeux liés à la reproduction des rapports de pouvoir.
Mes intérêts de recherche s’inscrivent dans une perspective critique et interdisciplinaire. L’intervention en travail social et le renouvellement des pratiques sont au cœur de ma programmation de recherche qui porte principalement sur :
1. l’intervention sociale en santé mentale et l’approche de rétablissement
2. les pratiques collaboratives et partenariales au sein du réseau de santé et des services sociaux
3. la pédagogie en travail social et la création des outils pédagogiques.
Travailleuse sociale de formation, j’ai une expérience clinique et de gestion dans les services de psychiatrie de 1e, 2e et 3e ligne. Je m’intéresse aux liens entre les processus discursifs, les processus sociaux, les représentations de la folie dans l’intervention sociale et les actions/interactions situés, notamment en ce qui concerne l’expérience vécue des personnes qui vivent avec des problèmes importants de santé mentale et des intervenants qui les accompagnent. Je m’intéresse également aux analyses critiques et structurelles, particulièrement en ce qui concerne les écarts entre la théorie et la pratique en travail social. Ma posture de recherche et d’enseignement est collaborative, réflexive, critique et constructiviste et je porte un intérêt sur le développement des formations relationnelles, axées sur les forces et contemplatives. Mes projets de recherche favorisent des méthodologies critiques, ethnographiques et qualitatives.
POIREL, Marie-Laurence
Professeure agrégée
- Intervention psychosociale
- Marginalisation
- Oppression et pratiques anti-oppressives
- Populations marginalisées
- Programmes et politiques de santé
- Recherche qualitative
- Ressources de soutien communautaires et institutionnelles
- Approches critiques en santé mentale et en psychiatrie
- Soutien par les pairs et entraide
- Santé mentale
Mes principaux intérêts de recherche concernent les pratiques et les savoirs en santé mentale et en psychiatrie. À cet égard, mes recherches portent plus particulièrement sur les pratiques institutionnelles et communautaires de traitement dans la communauté; sur les savoirs qui sont mobilisés dans l’intervention; sur l’expérience subjective du traitement médical et non médical; sur le rôle des pratiques en santé mentale dans les trajectoires d’intégration et d’inclusion des personnes qui vivent des problèmes de santé mentale graves.
Je m’intéresse aussi à la construction des catégories dans le domaine socio-sanitaire; aux processus de marginalisation et de stigmatisation ainsi qu’aux stratégies de résistance; au savoir d’expérience des intervenants sociaux et psychosociaux; aux formes contemporaines de la subjectivité.
Mes recherches s’inscrivent dans une perspective qualitative et je m’intéresse aux pratiques de recherche participative.
RACINE, Guylaine
Professeure honoraire
- Interventions
- Mobilisation des connaissances
- Populations marginalisées
- Éthique
- Recherche collaborative
Mes intérêts de recherche portent plus particulièrement sur la production de savoir d'action chez les praticiennes et praticiens, ainsi que sur le développement d'outils et d'approches de recherche favorisant la collaboration entre les milieux de pratiques, les milieux de formation et les milieux de recherche. Les pratiques d'intervention novatrices auprès de populations marginalisées, les études sur la perspective des usagers, les valeurs qui guident l'action des praticiens et praticiennes, les questions éthiques, la formation professionnelle en service social sont d'autres thèmes d'intérêt pour moi. Enfin, je m'intéresse à l'utilisation d'outils numériques comme outils pédagogiques, comme outils d'échanges sur les pratiques et comme outils de collecte de données et de diffusion des résultats de recherche.